SKIP THE USE : VIDÉO GAMES

Mat Bastard, leader vocal, évoque les clips phare du groupe rock nordiste.

GHOST. (2012) « Un clip sur la jeunesse qui peut être manipulée et aiguillée dans un sens pour servir des personnes parfois malveillantes. L’idée était de mettre en image cette jeunesse qui décide de se prendre en main et de ne pas faire de compromis pour s’assumer telle qu’elle est, avec fierté. »

MAMELESS WORLD. (2013) « J’ai co-produis un dessin animé intitulé Zombillénium (2017). A l’époque, nous n’avions pas le blé pour faire un long métrage. Nous avons donc produit ce clip qui était une sorte de teaser du film. L’idée était de faire une vidéo nous amenant dans l’univers de Zombillénium pour essayer d’attirer les partenaires potentiels pour qu’ils nous soutiennent sur ce projet. Arthur de Pins, dessinateur, auteur de la BD originelle et réalisateur du film, a signé la vidéo. »

STAND AS ONE. (2017) « C’est un peu la suite de Nameless World. Plutôt que de faire un dessin animé, nous avons pris l’univers du dessin animé que nous avons transposé dans un film. »

SLAUGHTER. (2022) « Ce clip que j’ai réalisé évoque le côté sombre que nous avons chacun en nous et le rapport que nous pouvons avoir avec ce côté sombre. Cela peut être de l’anxiété, de la peur, ou même, de la haine. Apprivoiser cette part sombre et apprendre à vivre avec peut nous permettre de nous élever et d’évoluer. »

THE ONE TWO. (2022) « J’interprète cette chanson sur un couple en duo avec Anthéa, ma femme. Dans ce clip d’animation, deux êtres se rencontrent. Au moment où ils se croisent dans la rue, toute leur vie défile devant eux. Le pitch du clip est « Que se passe-t-il lorsqu’on connait la fin d’une histoire avant d’embarquer pour ce voyage ? »

HUMAN DISORDER. (2022) « Dans ce clip, nous sommes dans un huis clos pour évoquer le confinement. Nous recentrons les choses sur les quatre membres du groupe pour raconter où tout démarre. Nous avons tourné dans un hangar sous la direction du réalisateur Ybao Benedetti. Nous nous servons du huis clos forcé, dans lequel nous étions tous, pour l’ouvrir et sortir ensemble vers quelque part. »